VdN: Très remonté et plein de projets, Denis TONNEL repart à fond avec l’UNM

Retranscription de l’article Voix-du-Nord de Brigitte Lemery, du 10 septembre 2017 :

Action de fond dans 15 jours

Ce qui n’empêche pas l’UNM de remettre les gaz : «  On repart à fond, très dynamiques, très remontés, pleins de projets. ». Parmi eux, une opération qui se veut médiatique sur le terrain marcquois, dans une quinzaine de jours, pour se mettre en lumière. «  Ce sera une action de fond, mais bien visible  », prévient l’un des membres.

Après «  avoir mis les baskets durant la campagne  » pour ratisser la ville, «  présents dans tous les bureaux de vote  », les membres de l’UNM estiment «  qu’il ne faut pas regarder un score, mais ce qu’il y a derrière un score ! On a vocation à essaimer sur Marcq.  »

Plusieurs combats sur le gril

En attendant de faire des petits, l’association Une nouvelle Marcq (UNM) de Denis Tonnel, a plusieurs combats sur le gril. Parmi eux, le projet de délocalisation du Colisée Lumière place Doumer qu’elle refuse toujours. «  Les Marcquois avaient besoin d’une vraie salle de spectacles  », friche Doolaeghe, et d’une mutualisation de moyens, notamment avec La Madeleine.

«  Le Colisée Lumière, c’était le cadeau de la mariée, la dot de Sophie Rocher !  », raille Denis Tonnel qui annonce que 733 Marcquois, auraient signé la pétition contre ce projet municipal. «  Forcément que le projet sera magnifique. Il est payé cash !  », ajoute-t-il.

Denis Tonnel a également annoncé avoir envoyé un courrier récemment au Préfet pour lui faire remarquer que, dans le budget du Colisée Lumière, aucune charge de personnel ne figure, afin de «  masquer que le cinéma est doublement déficitaire avec 23 000 places offertes aux scolaires, sans oublier les aînés  ».

C’est pour eux «  un établissement sous perfusion » qui ne pourra donc pas marcher davantage avec trois salles.

Tirant à vue, l’UNM évoque «  la saturation monstre de la circulation  » dans la ville, «  l’immobilier non maîtrisé  », les «  comités de quartier cloisonnés  », la «  situation grave du commerce  » marcquois avec des boutiques vides, les MJC (maisons des jeunes) qui ferment les unes après les autres, «  les conseils d’école qui ne sont pas des lieux de concertation  ».

Contact : www.une-nouvelle-marcq.fr