Tribune de Denis TONNEL d’Images de Marcq de juin 2017

L’Esprit de la République ?
Une lettre de cachet…
…. m’a été remise à mon domicile par un agent public il y a plus d’un an maintenant me signifiant mon éviction et ma mise au ban pour avoir souhaité continuer le travail entrepris en qualité de Délégué de Circonscription dont les résultats étaient pourtant très positifs. Ceci alors que je m’étais toujours impliqué pleinement au service des Marcquois dans le respect de la feuille de route qui m’était donnée. J’ai été discrédité pour des
considérations étrangères à la bonne marche de l’administration communale.
Blessé par cette injustice, j’ai saisi le tribunal.
Il m’a alors été reproché tous les maux par la mairie, des plus fantaisistes aux plus mensongers dans l’espérance que les juges en retiennent au moins un… Et si ce fut le cas, la vérité est que le tribunal a néanmoins relevé, s’agissant des fautes les plus graves qui m’étaient reprochées que les
pièces que j’ai produites « mettaient en doute les témoignages recueillis par le maire ».
J’ai donc décidé de continuer le combat et d’interjeter appel du jugement.
Je tiens à la disposition de chaque personne qui m’en fera la demande la totalité des pièces du dossier. Elles vous seront envoyées sur simple demande par mail: contact@une-nouvelle-marcq.fr
Une baronnie ?
Notre ville mérite mieux que ces petits arrangements entre amis. Il est temps d’agir dans l’intérêt des citoyens. D’ailleurs, ne nous y trompons pas, laisser sa place de maire à une amie , même contraint et forcé par la nouvelle loi sur le non cumul des mandats, n’est en réalité pas un gros sacrifice; les coussins pour s’installer dans les salons de la République sont nombreux.
La partie de chaise musicale est jouée d’avance: le maire actuel, si toutefois il conserve son fauteuil de député, continuera à avoir une position bien assise en tant que conseiller municipal. L’ombre du commandeur pourra continuer à planer sur ses sujets… Qui tirera les ficelles ?
Une autre première loge lui sera conservée celle de Conseiller à la Métropole Européenne.
Tout ceci bien entendu, orné des indemnités et autres honneurs qui accompagnent ces titres. Cela revient en réalité à un non cumul fictif.
De nouvelles pratiques pour notre ville
Etre au service des habitants de Marcq, voilà le moteur de mon action politique. J’y engage mon confort de vie et mes finances personnelles. J’y risque la diffamation et l’hostilité des apparatchiks en place. Mais rien ne compte plus à mes yeux que ce combat contre le vieux système !
Les électeurs trancheront ce débat, c’est le seul jugement qui vaille en démocratie.